22 août 2015

Deuxième chronique: «Sais-tu que : La solitude est un monstre de glace»

 Chapitre 2 : Perdu en chemin

Deuxième chronique:   «Sais-tu que : La solitude est un monstre de glace»


Solitaire :un terme complexe a connotation tantôt péjorative tantôt appréciative. C’est un mot qui exprime un état d’âme et au même temps un sentiment. « Il est seul » pourrait signifier qu’il n’est en compagnie de personne. En outre, cela peut aussi renvoyer à sa situation actuelle : célibataire.
Pour mieux vous faire part de ma façon de voir la solitude je vous propose mes deux points de vue.
La solitude pour moi est un monstre de glace toujours présent à nos cotés. Des fois, affamé, il nous dévore. C’est là où nous vivons à l’intérieur d’une bulle. Et des fois, la chaleur d’une relation d’amour ou d’amitié fait fondre ce monstre et nous libère. 

Maintenant, Imaginez-vous seul dans ce monde. Personne pour vous jugez. Personne pour vous déranger. Personne pour détourner votre attention. Personne pour vous faire la morale. Juste vous, et la Terre.
Vous me direz peut-être bien que cela impliquera qu’il n y aurait personne ni avec qui partager sa vie. Mais à quoi bon si cette personne vous quittera -ou vous la quitterez- à la fin (Je rappelle que seulement 7% des mariages réussissent).

Et si vous êtes l’une des personnes qui veulent plutôt un(e) ami(e) à qui parler, lisez bien ceci :
«  Pour faire confiance à un(e) ami(e) vous avez besoin de temps, donc voici la première chose que vous perdez : du temps ! La deuxième des choses si vous vous faites trahir par une personne qui soi-disant est votre amie, alors vous serez plus prudent et vous « placeriez la barre très haut » pour sélectionner ou approuvez des nouvelles amitiés. Tout ceci, à mon avis, n’est que perte de temps et d’énergie qu’on pourrait investir dans d’autres projets de développement de soi. »


Pour clôturer, je dirais que la vraie vie est loin d’être semblable à cette simple modélisation que je viens de présenter. Ce ne sont que mes émotions qui claquent la réalité. Les relations humaines sont un très large domaine qui ne pourrait pas être limités à un mariage ou une amitié.

Fin.

19 août 2015

Première chronique : "Pour dormir, on a qu'à fermer les yeux"

Chapitre 2 : Perdu en chemin

Après une longue pause, mes écrits se firent reprendre. Sous la forme de chroniques relayant les événements, réflexions et idées d'un étudiant Marocain.
Je vous laisse avec ma première chronique.

Première chronique :         "Pour dormir, on a qu'à fermer les yeux"


          Nonchalant, à moitié endormi et bien installé dans une bulle solide, comme de l'acier, que nul ne pouvait percer. Je ne présentais aucun intérêt à ce qui se tramer entre mes camardes, plan futé, sortie après les cours ou autre; je n'étais là que pour regarder l'heure défilait laissant derrière elle une dimension nouvelle apparaître, qu'est le temps. Je suivais les va et vient d'un professeur plein d'ardeur, ses gestes répétitifs avaient un effet d'hypnose qui me bousculait dans une transe. Je ne pouvais plus cligner des yeux mes paupières étaient collées l'une sur l'autre. Le sommeil s'empara de moi petit à petit. Soudain, "De quoi a-t on besoin pour dormir?" lança une voix familière, celle du professeur essayant de ressortir une approche entre les besoins d'un "dormeur" et ceux d'une entreprise. J'avoue, drôle d'approche. La réponse se fit trop attendre en revanche elle était devant les yeux de l'audience; ils n'avaient qu'à se retourner tous pour voir un exemple vivant: moi.

          Je fis tout mon possible pour suivre le flux des questions-réponses absurdes découlant de cette approche, en vain. Pour dormir, on a qu'à fermer les yeux. Mon brave sommeil réduisit à néon mon envie de retracer la logique qui liée entre l'entreprise et le dormeur. La silhouette d'un étudiant gigotée devant mes yeux, je ne l'écoutais plus  je rêvais déjà. Mon rêve s'étalait de plus en plus pour arriver à voir ma vie après l'université. La terre n'était plus la seule planète habitée le nombre d'habitant dans l'univers s'élevait à 300 milliards. Je vivais accompagné d'une femme qui à première vue était elle. Oui c'était mon âme sœur. Comment je pouvais juger aussi facilement? D'après une étude récente, le simple faite de voir notre âme sœur que ce soit en photo vidéo ou réalité pouvait trancher si c’était la bonne personne ou non, d'après les scientifiques on serait capable de le sentir.

                 Elle était rousse, la peau blanche, les yeux grands,.. Non, ce n’était pas Mérida de Disney. Ses traits de visage m'ensorcelait, ses rondeurs -bien que minces- me hantaient et son sourire m'éblouissait, c'était la ... "Merci et a la semaine prochaine" ces mots magiques prononcées me sortirent aussitôt de mon sommeil pour me lever et quitter cette empire d'égoïstes et rejoindre ma chambre.